Wednesday, August 26, 2009

Internet, une ménace pour les téléchargeurs illégaux

Internet, une ménace pour les téléchargeurs illégaux


Les gens qui persistent dans les films d'échange de droits d'auteur et de la
musique verront leur connexion Internet est coupé en vertu de nouvelles lois
sévères qui seront proposées par le gouvernement aujourd'hui.

Les mesures comprennent aussi la prise du pouvoir de cibler téléchargeurs illégaux
loin de Ofcom, le régulateur et de donner aux ministres d'accélérer le
processus.

La décision de couper les peer-to-peer partage de fichiers
est inattendu car elle a été écartée par le gouvernement de son propre rapport
numérique en Grande-Bretagne Juin comme allant trop loin.

Dans le rapport, qui était alors ministre des Communications, a déclaré Lord Carter
partagent des fichiers illégaux devraient recevoir des lettres les avertissant
leurs activités pouvaient les laisser à des poursuites. En cas d'échec à réduire
le piratage par au moins 70%, l'Ofcom aurait le pouvoir de demander aux
entreprises de l'Internet tels que BT d'introduire ce qu'on appelle les "mesures
techniques" pour lutter contre le piratage. La plus draconienne de ces mesures
était de freiner la large bande une connexion filesharer persistante, mais il ne
semble pas jusqu'en 2012.

Mais le gouvernement aujourd'hui prendront l'initiative inhabituelle de proposer des règles beaucoup plus strictes au milieu de la Grande-Bretagne processus de consultation numérique. Partagent des fichiers illégaux seront toujours obtenir des lettres d'avertissement, mais si
elles continuent d'échanger du matériel protégé, ils pourraient voir leur
connexion Internet temporairement coupée, même si elle mai être possible de
conserver l'accès de base aux services publics en ligne.

Une loi similaire en France "Hadopi", en vertu de laquelle partagent des fichiers pourraient être
coupées pour aller jusqu'à un an a été récemment lancé par le plus haut tribunal
du pays comme inconstitutionnelle. Au Royaume-Uni, des groupes de la vie privée
sont susceptibles de remettre en question d'une législation similaire comme
contraire au droit des droits de l'homme.

Le pouvoir d'introduire des mesures techniques, quant à lui, appartient désormais à la secrétaire d'État, non de l'Ofcom et leur introduction ne sera pas recourir à une quelconque
réduction de 70% du piratage mais être à la discrétion du ministre alors qu'il
tente de garantir l'avenir du Royaume-Uni les industries créatives.

"Les propositions précédentes, bien que robustes, prendraient une quantité
inacceptable de temps pour terminer dans une situation qui appelle une action
urgente", selon un projet du nouveau plan du gouvernement US.

Cette initiative surprise va intensifier la spéculation pour laquelle Lord Mandelson est parvenu
à un accord secret pour protéger les industries cinématographique et musicale
avec Hollywood Mogul David Geffen au début du mois.

Le secrétaire d'affaires entre en contact avec Geffen, fondateur de Asylum Records et l'homme qui a créé DreamWorks avec Steven Spielberg, lors d'un dîner privé avec les membres de la
dynastie bancaire Rothschild à la villa de vacances de la famille à Corfou.


Suite à cette réunion avec Geffen, à long terme et adversaire déclaré de
la piraterie en ligne, M. Mandelson a donné instruction aux fonctionnaires de
son Département des affaires de l'innovation et des Compétences (BRI), chargée
de lutter contre le piratage en ligne par le rapport de Juin, pour répression
encore plus dure pour les pirates.

La nuit dernière, un porte-parole du BIS dit qu'il n'y avait pas de discussion sur le piratage en ligne lorsque Mandelson a rencontré Geffen et il n'y a aucun lien entre cette réunion et les
nouvelles propositions du gouvernement en matière de partage de fichiers
illégaux.

Les industries de la musique et du film avaient fait une campagne
pour laquelle la mise en place de sanctions s'avéraient difficiles plus tôt avant 2012 et le fait que
les pirates persistent s'annonce comme un salut.
Les fournisseurs de services Internet du Royaume-Uni, cependant, seront moins heureux
par les régimes. Plusieurs ont dit très clairement qu'ils n'ont pas envie de
police de l'Internet pour le compte d'une autre industrie.

Elles seront particulièrement agacées du fait que le gouvernement estime que le coût des mesures techniques doit être supporté par les FAI et il veut se consacrer au projet de
loi économie numérique l'automne prochain. L'industrie du contenu, quant à lui,
continuera à payer la note pour identifier partagent des fichiers illégaux et la
préparation de suffisamment d'informations pour qu'ils soient ciblés par les
FAI, alors que les coûts de la lettre de campagne de l'écrit seront partagés à
parts égales.

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